Cocu … Volontaire ? 10 Fais Un VœU

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Oui je l’ai voulu ! Et cela se réalise. Je me souviens de la montée des vagues sur la plage avant la marée haute. Une vague s’écrase sur le sable puis l’eau recule et se heurte à la vague suivante plus forte qui va gagner le sable sec un peu plus loin, refluer et à son tour être engloutie et dépassée par une nouvelle vague. Peu à peu la plage sera envahie. Ainsi progresse dans le vagin de ma femme le sexe exceptionnel de René, chargé par moi et par Angèle, sa maîtresse attitrée et meilleure amie D’Émilie, de rendre à cette dernière le goût et le bonheur de la pratique de l’amour.


Le gland a passé le vestibule, franchi la résistance d’un vagin que jamais n’avait pénétré une pareille massue. Émilie a réclamé une pause après l’effort puis nous a annoncé une forte chaleur qu’elle a attribuée à l’admirable sexe du mâle, sans savoir qu’elle était davantage l’effet du gel « Héro » utilisé pour faciliter l’introduction du membre par elle désiré à la place de celui d’un mari dévalué, hélas mais heureux témoin de cette substitution. Les défenses de la porte es, René prend possession par avancées successives. Il appuie, se retire , avance un peu, recule d’autant, mis de secousse en secousse, il gagne du terrain dans le vagin qui l’aspire. Le conduit s’élargit grâce à l’activité du garçon et à la chaleur qui réveillent la multitude des terminaisons nerveuses sollicitées par le va et vient de la bite merveilleuse. Je participe à l’invasion en bloquant la tête et les épaules et en empêchant le corps de ma femme de reculer sur le canapé à chaque nouvelle charge du bélier. Angèle compte les points à l‘autre bout du canapé


- Voilà, c’est fait. René tu n’iras pas plus loin. Un vagin est une poche avec un fond, après vient l’utérus impénétrable par une verge quelle que soit sa taille et réservé aux spermatozoïdes les plus vifs. Les gémissements de la femme ont pris une tonalité différente quand tu as touché le fond.

Tu sais ce qu’il te reste à faire pour la rendre complètement heureuse, mon chéri.


Le veinard est chéri des dames inspirées par les performances à attendre d’un sexe exceptionnel. Je l’envie. Si j’avais un truc comme ça au bas de mon ventre, je ne serais pas obligé de confier à un étranger le soin de faire jouir ma femme et je ne serais pas contraint d’assister béat à la résurrection des étoiles dans ses yeux. C’est moi qui irais et viendrais en ce moment remuer son intimité profonde et qui serais responsable de sa chanson d’amour aux paroles universelles si connues, composée de « ha, ho, hum, hum ,hi, haha, rrrrrra » et de « c’est bon, c’est merveilleux » ou de « encore, baise-moi plus fort ». Bien sûr je suis content de l’entendre, de la voir tendre son ventre pour se prêter mieux à la divine pénétration et à ses mouvements aux rythmes variés, de lire sur son visage l’éclosion d’un plaisir intense, de voir se creuser les rides de l’orage d’un orgasme dévastateur. Ce qui m’anéantit ce sont les regards qu’elle m’envoie pour me remercier. Je suis le généreux donateur , j’ai droit à ce sourire plein de reconnaissance.


J’assiste au calme d’un jeune homme sûr de lui et du résultat de ses pénétrations lentes, appuyées en fin de course par une contraction des fesses destinée à gagner un demi centimètre en profondeur pour obtenir un miaulement supplémentaire de la bienheureuse amante accidentelle. Il force un peu pour répondre au besoin et aux appels geints « plus fort » de la pouliche saillie. Serein, agenouillé face au ventre relevé par les jambes accrochées à ses cuisses, René balance son bassin d’avant en arrière à la façon d’un automate, entre, sort, régulièrement, avec cet imperturbable sourire du vainqueur assuré d’être le meilleur. Avoir 22 ou 23 ans et faire jouir Émilie, une cougar amatrice de chair fraîche, ce soir ,comme il fait jouir habituellement Angèle, le remplit d’orgueil. Et pour l’instant il montre « sa force tranquille » de Petit Salopard.



Angèle est mieux placée que moi pour voir le piston coulisser mécaniquement dans l’antre de ma femme. A l’instant elle saisit ses deux pieds, ouvre l’angle d’attaque des deux cuisses . Elle me fait signe de la rejoindre. Je cale la nuque de ma femme dans un coussin pour mieux examiner le travail du piston. La longue fente si fine d’habitude est complètement déformée par le diamètre du gourdin qui tire vers l’intérieur de la cavité ovale les côtés internes des grandes lèvres à l’aller, mais ressort des profondeurs avec un anneau de chair des parois vaginales au retour. Oh ! Juste le temps de voir cette bague rose brillante avant sa disparition aussitôt recommencée.
Angèle lâche le pied gauche et me désigne de l’index la hampe vigoureuse et baladeuse perpétuelle;


- Vois-tu, il en reste toujours trois ou quatre centimètres à l’extérieur. Sa bite aurait-elle un mètre, il n’en rentrerait pas plus, la place est limitée dans un con de femme. J’en sais quelque chose. Émilie se fait des illusions quand elle croit que le plaisir se mesure en centimètres. Son problème n’est pas physique mais psychologique.


Psychologique ou mécanique le problème est en train de trouver une solution. René fait :

-Merde, ta femme est trop chaude, ça chauffe fort, oh l vache, je ne peux plus me retenir. Han !


On voit la partie émergée de la bite secouée par les soubresauts de l’éjaculation. La salve de sperme fait bondir le fessier de ma femme qui bloque avec les mains les mouvements désordonnés de ses seins. Un réflexe arrache la queue gluante que l’amant dépose dans les friselis pelviens, un peu tard, combien a-t-il déverser de foutre à l’intérieur avant d’arroser de liquide les poils du pubis .Angèle m’entraîne à l’écart pour me déclarer :


- Ton gel est drôlement efficace. D’habitude il est beaucoup plus lent et tient le coup pendant un temps infini. Quand ça l’amuse il est capable de me limer pendant une demi heure avant d’exploser.
Cette fois il n’a pas réussi à maîtriser l’éjaculation.


Veut- elle excuser la surprenante éjaculation précoce de son poulain pour me consoler quand je me réjouis de la rapidité de cet aboutissement. Ma joie est arrivée plus vite que prévu et ma femme a été bénie sans avoir à attendre aussi longtemps qu’avec moi. Comme elle a de la chance de connaître aussi vite son pouvoir de séduction sur son maître étalon de l’heure. Alléluia!!
Sur le canapé Émilie essuie son entrejambe et la toison de son pubis. Avant de se lever pour courir au bidet de la salle de bain, elle siffle :


- Vous deux, qu’est-ce que vous complotez encore?


Je vous épargnerai le récit détaillé de la suite. Mais la gamme des positions classiques a été honorée par René et m femme. Pour la levrette Angèle, au prétexte qu’il faut entretenir le matériel pour qu’il dure, a abondamment lubrifié le yin et le yang de la dame et du monsieur avant l’emboîtement des deux éléments complémentaires. Dans cette position à quatre pattes, croupe haute, reins creusés le sexe de ma femme m’a paru encore plus déformé,grand et large lorsqu’Angèle à tiré sur les lèvres à l’approche de l’imposant membre viril pour ouvrir la voie J’ai vu en une fraction de seconde le rouge sang profond du cœur de la cible. Tout le monde connaît la suite des ébats, le va et vient interminable de limage de l’infatigable jeune homme, ou, lorsqu il veut se reposer, les déplacements horizontaux des fesses de ma femme pour continuer, sur la barre immobile du sexe, l’aller retour et ses frottements érotiques.


- Regarde bien, m’a soufflé Angèle, René a enfilé un préservatif pour ne plus subir le feu de ton gel.


Courageux mais pas téméraire le petit jeune. Émilie, par contre n’a pas été épargnée. Elle peut attribuer une série d’orgasmes consécutifs aux qualités extraordinaires de son chevaucheur. Quand il s’agit de s’asseoir sur René en englobant la tige raide qui défie son sexe, ma femme se montre prudente dans la descente.
Force est de constater que la position ne permet pas de cacher la base de la glorieuse colonne. Angèle me montre entre son pouce et son index un écart de quatre centimètres environ.


Que ma femme se tienne droite ou qu’elle se couche sur René, soit sur sa poitrine et sa bouche pour l’embrasser passionnément, soit sur ses chevilles en offrant la vision de son anus à l’heureux bénéficiaire de ses envies, dans toutes les positions, à un demi centimètre près la partie visible de la pine garde la même dimension. La dernière séquence de cette union s’est terminée sur le canapé en position des cuillères. A chaque nouvelle position il annonce : « la chaise » ou encore «  position du lotus » dite « de la déesse » et avec emphase il déclame par exemple : (je cite)

« Comment s'y prendre ?
L’homme est assis en tailleur, les chevilles croisées entre ses cuisses, ou bien accroupi. La femme s’assied sur lui, face à lui. Elle enroule ses jambes autour de sa taille en posant ses pieds contre ses fesses. Lorsqu’ils sont bien accrochés l’un à l’autre, l’homme peut pénétrer sa partenaire. Les deux amants peuvent alors doucement se laisser basculer d’avant en arrière – d’où l’autre nom donné à cette position : "le lotus à bascule". Lorsque l’orgasme est proche, c’est le moment d’accélérer le rythme. La femme, elle, bascule le bassin d’avant en arrière. L’homme n’a plus qu’à suivre ses mouvements. »

Étonné de toutes ces précisions à propos de chaque nouvelle annonce, j’ai depuis consulté sur Internet et j’ai trouvé, mot à mot, les appellations, les consignes pratiques et les commentaires qu’un jeune chômeur ,réduit à gagner sa vie en baisant a des femmes en manque, appris par cœur et restitue fidèlement de manière à guider sa partenaire, moins calée en théorie, mais enchantée d’acquérir de façon ludique des connaissances à transmettre. Ami lecteur je décide de te laisser le plaisir d’accroître ton savoir, mais est-il nécessaire d’être pédant pour contenter une femme?

Enfin René a lâché les chevaux, s’est emballé, a cogné fort et vite. Émilie n’a pas pu compter les orgasmes enchaînés et , prise en cuillère, après l’inondation au sperme de sa hanche, elle s’est jetée sur la bouche de cet amant exceptionnel, l’a embrassé follement, lèvres soudées et langues en bataille. J’ai compris, mari stupide : elle est folle de lui.


J’amène le champagne, ils sont toujours enlacés. Je m’adresse à Angèle :

- Il est passé minuit, ils ont l’air épuisés, ont-ils fini pour cette fois ?

La réponse confirme mon sentiment.

- Oui, c’est fini… Mon amour, viens à la douche.

Le gigolo est soumis, se lève et emboîte le pas de sa maîtresse dominante .


Émilie, momentanément au bout du rouleau reste assise. Elle essaie de savoir mes dispositions d’esprit actuelles :

- Mon amour, est-ce que tu es content; c’était bien, non ?
- Je suis ravi. Te voilà apparemment rétablie. J’espère que tout va aller beaucoup mieux entre nous.


- Moi aussi, mon amour. Quel bonheur ! Tu as vu comme il sait s’y prendre pour renouveler sans cesse l’envie. Il est merveilleux.


- Vivement que je puisse faire comme lui. Et s’il faut apprendre toutes ces positions parfois compliquées pour ton bien-être, je m’y colle dès demain.


- J’aimerais. Pourtant je crains d’avoir besoin d’un repos bien mérité de deux ou trois jours. Je me demande aussi s’il ne faudra pas renouveler l’expérience pour être sûr du résultat et le consolider.


- Vous l’avez bien installé ce résultat. C’est pour cette raison que tu demandes une trêve. Oui, admettons qu’il te faille deux jours, après je vérifierai que nous pouvons rebâtir notre foyer. Mais nos amis se sont perdus à la douche. Le champagne chauffe, je vais les ramener.


Émilie ne bouge pas, elle a les jambes en coton. Du couloir j’entends les bruits caractéristiques d’un engagement sexuel. La porte de la salle de bain n’est pas fermée. Je jette un coup d’œil. Ils occupent la cabine de douche, Angèle agrippe le mitigeur et geint sous son René collé à son dos et qui lui balance de grands coups de reins dans les fesses.


- S’il te plaît, arrête. Comment fais-tu pour avoir encore tant d’énergie après ces heures de ramonage?


- Il fallait me laisser terminer. Elle était d’accord pour une sodomie, te rends-tu compte? L’occasion ne se représentera peut-être jamais. Alors encaisse à sa place, ça t’apprendra à me couper le sifflet trop vite.


- Ce n’est pas ça: ils vont s’impatienter. Tu arrêtes ou je t’empêcherai de recommencer avec elle. Stop, sèche-toi et viens te rhabiller.

Je m’éclipse avant d’être remarqué et vais annoncer à ma femme qu’ils arrivent. En fait je n’annonce rien, Émilie s’est endormie sur le canapé dans une position hallucinante: tête entre les bras, genoux plantés dans les coussins d’assise et cul en l’air comme dans l’attente de la sodomie oubliée. Sa hanche contre le dossier la maintient dans un équilibre précaire. Pour m’amuser, j’enfile mon index dans l’anus sans défense. La croupe démarre au quart de tour, dessine de vagues cercles autour de mon doigt et j’entends la question :

- Si je te laisse continuer comme ça, je pourrai revoir René ?


La voix d’Angèle répond depuis la porte du salon :


- Bien sûr ma chérie. Il se tiendra à ta disposition, où tu veux, quand tu veux et comme tu veux. Oh ! Tu as de petits yeux. Ma salope, il t’a bien défoncée. Ça fait du bien, tu en avais besoin.


Maintenant un couple nu fait face au couple habillé. Je verse trois coupes, René demande un coca : « Je dois conduire »

Angèle apprécie le champagne, Émilie titube en trempant ses lèvres dans les bulles, la fatigue de l’exercice lui a coupé la soif. Elle renouvelle sa requête. Angèle rit de cette obstination, vide sa coupe et prend l’engagement de faire le nécessaire pour pousser René à reprendre l’ouvrage là où il l’a laissé. Comme s’il était nécessaire de forcer le type à tringler une femme mariée. La deuxième bouteille est vide, la dernière coupe de la bonne vivante également. Émilie veut fixer la date du prochain rendez-vous. Angèle légèrement ivre reprend sa chanson et déborde :


- La première fois c’était gratuit, comme convenu. La prochaine fois tu paieras, ma chérie, tu le sais.


- Oui, mais combien, dis ton prix, Jean paiera. N’est-ce pas, mon bon mari.


Angèle qui ne se contrôle plus vraiment, tape sur la main de René égarée sur les fesses de sa conquête et indique ses conditions :


-Oui, Jean devra payer, mais en nature. Je te refile mon amant, il est juste que tu me refiles ton homme. Donnant donnant ou rien.


- D’accord, mais tu perdras au change.


- Pas sûr, cela fait plus de quinze ans que j’attends cette occasion. Hein, Jean, tu as deviné que mon premier béguin c’était toi.


Assommé par le « Tu perdras au change » et par la révélation d’Angèle je reste coi. Bien qu’avinée, Angèle ne perd pas le nord et ajoute :

Puisque tu reconnais que je serai perdante, j’aurai droit à passer avec ton mari, deux fois plus de temps que toi avec René. Tope là.

A partir du moment où elle pourra faire l’amour avec René, Émilie est prête à me vendre s’il le faut. Je ne dis rien.

- « Qui ne dit mot, consent » conclut Angèle. On se revoit dans trois jours, cela vous convient, j’en suis certaine. René, rentrons.

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